
Hello les gars. 🙂
Aujourd’hui je vous retrouve pour vous présenter mon dernier article récap de l’année portant sur les festivals, et pas des moindres puisque c’est un festival qui s’est déroulé à Toulouse. Je parle donc du Hope Music Festival.
Bon tu t’en doutes sûrement mais je suis bien triste que la saison des festoches soit déjà terminée. J’ai plusieurs projets pour l’été prochain, j’espère que j’arriverai à tous les réaliser, mais je n’en dis pas plus pour le moment. Ne t’inquiète pas pour autant, je vais profiter du reste de l’année pour me concentrer sur les concerts, histoire d’agrémenter un peu plus cette rubrique du blog 😉
Avant toute chose, je voulais te refaire un petit topo sur ce festival. Le Hope se déroulait pendant 3 jours fin septembre à l’hippodrome du Toulouse, juste à côté du Zénith. Tous les bénéfices de la billetterie étaient reversés à l’association Maison des Parents de Toulouse. Je ne connaissais pas grand monde de la programmation – comme pas mal de gens d’après ce que j’ai pu comprendre – j’y suis donc allé en mode « découverte » sans me prendre la tête au niveau de la time-table.
Day 1 – 20 Septembre.
Après un splendide voyage composé de bus-métro-tramway-marche, j’arrive aux alentours de 18h à l’hippodrome de Toulouse, une heure après l’ouverture officielle du festival. J’ai pu récupérer mon badge presse – je te jure, j’adore avoir ce truc autour du cou – hyper rapidement.
Le premier truc qui m’a un peu surpris, c’est le peu de monde qu’il y avait à l’entrée, mais aussi dans la zone du festival. D’accord, c’était un jeudi – donc en plein milieu de la semaine – mais je m’attendais à voir beaucoup de jeunes pour le premier soir. Au final, le monde est arrivé vers la fin de soirée. Le point positif c’est que j’ai pu faire de belles photos sans être bousculé, donc ça c’est plutôt cool. 😉
J’ai donc profité du début de la soirée pour faire le tour du site du festival. Je me suis d’abord renseigné sur le moyen de paiement et sur les différents prix. C’était, comme la plupart du temps, le paiement cashless qui était proposé. Tu échangeais ta monnaie (ou tu pouvais payer en CB) contre des petits tickets plastifiés. 1 ticket valait 1€.
Il y avait quelques stands de bouffe que je n’ai pas eu l’occasion de tester. Pour tout ce qui est boisson, le stand était gigantesque avec une bonne sélection à un prix raisonnable pour un festival (1€ l’écocup consigné, 3€ le soft, 5€ la pinte de Carlsberg).
Je me suis ensuite dirigé vers le stand Papilyo pour voir les différents produits proposés lors du festival. Papilyo, c’est la seule et unique marque de vêtements et accessoires de musique électronique en Europe. Je tiens également à préciser que c’est la seule marque qui reverse ses fonds à une trentaine d’associations via la vente de leurs produits. Il y a un peu de tout, des casquettes, des t-shirts, mais le plus intéressant c’est les bracelets.
Pour 14€ tu pourras te procurer le bracelet de DJ Snake, Martin Garrix ou encore celui de Lost Frequencies. En plus les designs sont vraiment sympas – surtout pour la saison des festivals je trouve ça hyper cool – et tu fais une bonne action. D’ailleurs, si tu es intéressé , j’ai réussi à te dégoter un petit code promo des familles (GGPOSEY) de 15% sur tout le site Web de la marque. 🙂
Dj Getdown a lancé les festivités à 18h30. J’avais déjà eu l’occasion de voir un de ses sets à l’Elektric Park en septembre. Comme la dernière fois, j’ai beaucoup aimé. En plus, c’est le seul qui a vraiment joué le jeu en ne passant pratiquement que des titres « hip-hop », et ça c’était super cool.
Juste après Dj Getdown, c’était au tour de Daddy K d’entrer en scène. C’était le premier DJ du week-end que je n’avais encore jamais vu et comment te dire que j’ai été très surpris. Pour faire simple, ce mec est fou, mais dans le bon sens du terme. Je n’avais encore jamais vu un DJ mixer avec ses coudes ou même son visage, c’était vraiment original. Grand moment de rigolade pour ma part.
Mike Cervello a mixé à 20h30 et ça aura été la meilleure découverte que j’ai pu faire lors de la première soirée. J’en avais déjà entendu parler mais je n’avais jamais eu l’occasion de le voir. Son set était vraiment dynamique et ça se voyait qu’il était très content d’être là.
Day 2 – 22 Septembre.
Le deuxième jour – enfin, c’était le dernier jour du festival, j’ai loupé le vendredi car j’avais un autre événement de prévu, je t’en reparle très vite sur le blog – je suis arrivé à 20h pour le set de Tony Romera. Déjà, au niveau du monde, rien à voir avec le jeudi, c’était clairement blindé. Tant mieux, ça fait toujours plaisir à voir.
Tony Romera est un DJ que j’aime beaucoup depuis un petit moment et j’ai adoré sa prestation. La scénographie était au top, et on a même eu droit à son remix officiel de Be Right Here de Kungs.
21h, c’est au tour de Kryder. Son set restera ma plus grosse déception de ce week-end. Pour tout te dire je suis même parti m’asseoir dans les gradins (aka. l’espace VIP) pour faire le tri de mes photos… Déjà, je ne sais pas si c’était voulu par l’artiste ou non mais la scène était très sombre lors de son set, on ne le voyait pratiquement pas, alors tu peux imaginer que niveau photo je ne pouvais pas faire grand chose. C’est mon avis personnel mais j’ai trouvé son set un peu plat – surtout par rapport aux précédents artistes que j’ai pu voir lors du Hope – et vachement répétitif. Dommage.
Heureusement que le set de Dimitri Vangelis & Wyman m’a redonné le sourire. Pour faire simple et ne pas répéter toujours la même chose, j’ai le même point de vue que pour le set de Mike Cervello. C’était top.
Third Party était le duo que j’attendais le plus du festival. Je suis persuadé que tu as déjà entendu parler de leur collaboration avec Martin Garrix sur le litre « Lions In The Wild ». Pour moi, c’est un très bon duo pour les festivals. Ils communiquent beaucoup avec le public – je trouve ça primordial, un artiste qui fait son taff et qui s’en va sans rien dire c’est toujours très décevant – le set était très travaillé, et la scénographie aussi.
En conclusion :
Personnellement, j’ai trouvé le festival très intéressant même si quelques points peuvent être retravaillés pour une future édition. Pour le côté négatif, peut-être que 2 jours auraient suffi pour une première édition. La première soirée, qui devait être une soirée hip-hop, m’a plus fait penser à une soirée électro classique. Autre point, la programmation. Vous le savez maintenant, je suis quelqu’un qui adore découvrir de nouveaux artistes en festival. Mais tout le monde n’a pas ce point de vue, et c’est sûrement pour cela qu’il n’y avait pas beaucoup de monde le premier jour. Pour une fois qu’il y a un gros événement de ce type à Toulouse, je trouve ça trop dommage.
Cependant, je pense qu’il faut être vraiment indulgent avec le Hope Festival. Tout d’abord, chapeau à tous les membres de l’organisation qui étaient à l’écoute et disponibles pour répondre à nos questions. Ensuite, je trouve que l’hippodrome était un très bon choix pour ce type d’événement, l’espace est grand et la zone Chill était vraiment sympa. Il ne faut pas oublier que c’était la toute première édition. Certes, il y a eu quelques petits imprévus, je pense notamment à la soirée du vendredi qui a dû se finir plus tôt, mais je suis persuadé que s’il y a une seconde édition – et je l’espère sincèrement – le festival sera de meilleure qualité et fera beaucoup plus parler.
GG.